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Partez à la découverte de Teeers, la nouvelle sensation pop made in France !

Publié le par Steph Musicnation

Photo Chris Plytas

Photo Chris Plytas

Pouvez-vous présenter Teeers à nos lecteurs ?

V : Je m’appelle Victor, je suis chanteur et guitariste.

O : Je suis Odilon, je suis à la basse et aux chœurs.

C : Et moi, je m’appelle Clément, je suis batteur et je participe également aux chœurs. En live, il y a un quatrième mec avec nous, c’est notre meilleur pote, il s’appelle Lewis OfMan, il ne compose pas avec nous mais il nous rejoint sur scène en concert car c’est un très bon musicien. Il s’occupe des claviers et du Pad. Lewis a son propre projet solo à côté.

Comment s’est formé Teeers ?

O : Nous étions en sixième, Victor et Clément jouaient déjà de leurs instruments depuis trois mois et je me suis dit que ce serait cool que je puisse me mettre à la basse pour pourvoir jouer avec eux. On a commencé à répéter chez Clément, nous étions plus nombreux à l’origine mais nous nous sommes rendu compte que c’était tous les trois que l'on s’amusait le plus et c'est de là qu'est né le groupe.

Photo Chris Plytas

Photo Chris Plytas

Que signifie le nom du groupe ?

C : C’est très simple à expliquer. A l’un de nos premiers concerts, nous avions des T-Shirts avec des larmes faits par une artiste qui s’appelle Elvire Bonduelle. A la base, on s’appelait The Tears mais on trouvait ça un peu nul comme nom, on s’est dit on est trois, trois E, ça le fait.

O : On s’est dit que c’était un nom cool !

Le choix de l’Anglais pour vous exprimer musicalement était-ce une évidence ?

O : Oui, c’était une évidence, peut-être moins maintenant mais on ne s’est pas posé la question car c’était par rapport à ce que l’on écoutait.

C : On refusait de chanter en Français à l’époque, comme le dit Odilon, c’est un peu en train de changer mais nous n’écoutons pas trop de groupes en Français.

V : Mais en ce moment, il y a pas mal de groupes qui chantent en Français et qui proposent de bons trucs.

O : Les gens écoutent moins les paroles quand on chante en Anglais, c’est un peu comme du yaourt pour eux alors qu’en Français, les gens t’écoutent et jugent ce que tu dis. L’Anglais, c’est un poids en moins sur nos épaules même si cela peut marcher dans les deux sens.

Photo Chris Plytas

Photo Chris Plytas

Quels étaient les groupes que vous écoutiez à l’époque ?

O : The Strokes, Arctic Monkeys, le combo, c’est ce qu’on écoutait en 2007.

C : On kiffait vraiment.

O : On écoutait aussi des groupes plus anciens comme The Clash par exemple.

V : C’est aussi cela qui nous démarquait plus des autres.

Comment définiriez-vous le titre Magical Lane ?

C : Poppy, poppy !

O : C’est de la French pop, je pense qu’on sent bien qu’il y a une petite influence Daft Punk dans ce titre.

C : C’est hyper pop, c’est le titre le plus pop que l’on ait fait et c’est même peut-être le truc le plus pop que l’on fera. Je crois qu’on a atteint les limites de la pop avec ce titre.

O : C’est en tout cas un morceau très cool à jouer.

Partez à la découverte de Teeers, la nouvelle sensation pop made in France !

Que raconte ce titre ?

C : On a des paroles de défoncés alors qu’on ne se drogue pas (rires).

V : C’est un mec qui conseille de prendre de la drogue, puis il y a le refrain et ça part ensuite sur une fille.

L’EP est disponible depuis le 15 avril. Comment s’est fait le choix des titres le composant ?

O : Ca s’est fait avec ce que l’on a déjà (rires) et nous avons voulu faire quand même quelque chose de cohérent. Nous avions une sorte de ballade mais qui ne marchait pas trop dans l’EP et du coup, nous l’avons donc faite en mode Rnb.

V : Le titre s’appelle How Can You Dance et comme nous n’étions pas du tout contents de la version que nous avions enregistrée, nous avons poussé le morceau en mode rnb en faisant quelque chose qui ne nous ressemble pas à la base mais qui fonctionne.

O : Le but était aussi de surfer sur la vague Magical Lane en proposant des remixes. C’est comme une version deluxe de l’EP.

Partez à la découverte de Teeers, la nouvelle sensation pop made in France !

L’album est-il en préparation ?

C : Il est en préparation chez nous, nous avons pas mal de maquettes mais nous ne les avons pas encore enregistrées en studio.

V : On y pense en tout cas.

O : Il est en préparation mais pour l’instant, on répète pas mal pour notre concert Aux Bains mais après je pense qu’on va surtout continuer à composer.

Etes-vous à « plein temps » dans la musique ou poursuivez-vous vos études en parallèle ?

O : Nous ne sommes pas clairement du tout dans la musique car personnellement, je suis en Hypokhâgne et cela demande beaucoup de temps. Pour tout te dire, le lendemain de notre passage au Petit Journal, j’avais un DS de philo de cinq heures, le changement est assez radical mais je dois réussir à faire cohabiter les deux.

V : Je suis en fac de maths et c’est à peu près la même chose.

O : On va dire que la musique, c’est à plein temps libre.

C : J’ai du temps de libre, moi, j’ai fait une fac de droit mais ça ne m’a pas passionné mais je vais faire une école de son et musique l’année prochaine.

Peut-on déjà retrouver Teeers en concert ?

V : Nous serons en concert Aux Bains pour notre release party le 21 avril et des dates devraient arriver dans l’idéal cet été et à la rentrée.

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