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Faites connaissance avec G Flip l’une des révélations 2018 venue d’Australie !

Publié le par Steph Musicnation

Faites connaissance avec G Flip l’une des révélations 2018 venue d’Australie !

Comment te présenterais-tu à nos lecteurs ?

Mon nom de scène est G Flip et mon vrai nom est Georgia Flipo. Je viens de Melbourne en Australie et je suis batteuse, auteure, interprète et productrice. Je joue un peu de guitare, de piano, de basse mais mon instrument principal demeure la batterie.

Comment est né ton amour pour la batterie ?

Je pense que j’ai toujours aimé la musique depuis ma naissance. Dès mon plus jeune âge, j’adorais taper sur des tables et chanter pour moi-même. Dès l’instant où l’on m’a offert une batterie à 9 ans, c’est devenu une passion et j’ai voulu en faire mon métier. J’écrivais secrètement des chansons et j’avais pour rêve de devenir une artiste qui puisse combiner le chant et la batterie.

Comment tes parents ont réagi quand tu leur as annoncé que tu voulais devenir artiste ?

Quand j’ai dit à mon père que je voulais devenir musicienne et chanteuse, il m’a dit de foncer et que c’était génial. Mon père voulait devenir une rockstar mais au lieu de suivre son rêve, il est devenu comptable. Du coup, il vit son rêve à travers moi. En revanche, ma mère a été un peu plus mitigée car elle était plus inquiète. Elle m’a dit que ce serait bien d’avoir un plan B, qu’il faudrait que j’aille à l’université afin d’obtenir un diplôme et que je pourrais devenir prof de musique car j’adore travailler avec les enfants. Je dois dire que ça m’a un peu contrariée car je n’ai aucune envie d’avoir un plan de rechange. Pour moi, si tu envisages un plan de secours, c’est que tu penses déjà que tu ne vas réussir dans ce que tu veux entreprendre. Voyager à travers le monde et partager ma musique avec le public, c’est ce que je veux vraiment faire.

Faites connaissance avec G Flip l’une des révélations 2018 venue d’Australie !

Quels ont été tes premiers pas dans le milieu artistique ?

J’ai commencé par tout faire moi-même dans ma chambre. Sans aucune aide, j’ai écrit toutes les paroles et j’ai composé toutes les mélodies de mes chansons. J’ai construit une batterie LED, j’ai appris en autodidacte à produire et une fois que j’ai été satisfaite du résultat, je suis allée voir des professionnels en leur disant « voici ce que j’ai à offrir ». J’avais déjà les chansons, une direction musicale et une vision très claire de ce que je voulais faire. Pendant un peu, les gens n’ont pas prêté attention à mon travail mais finalement des personnes ont écouté ce que je faisais, elles ont apprécié et j’ai pu choisir l’équipe avec laquelle je me sentais le mieux. Je me sens très chanceuse d’avoir ces personnes à mes côtés maintenant.

De quoi parle ta chanson « About You » ?

Cette chanson parle d’une relation amoureuse qui n’a connu que des hauts et des bas. Lorsque le moment de la rupture est arrivé, on ne sait pas si c’est une pause ou si les choses sont définitives.

Est-ce que le clip illustrant « About You » était une façon pour toi de montrer que tu fais tout toute seule dans ton projet musical ?

Tout à fait ; comme j’ai tout créé moi-même dans cette chambre, j’ai trouvé que c’était une bonne idée d’y filmer le clip. Dans cette vidéo, ma chambre est en désordre ; comme elle l’est toujours quand je suis en pleine création. J’ai tourné le clip moi-même avec mon Iphone grâce au logiciel IMovie. J’ai voulu montrer aux autres jeunes qui n’ont pas assez d’argent pour se payer un clip à gros budget que c’est possible d’en réaliser un simplement avec un Iphone. Si tu as une passion, un rêve, que tu travailles dur, tu peux y arriver !

Faites connaissance avec G Flip l’une des révélations 2018 venue d’Australie !

Tu viens de sortir un nouveau titre baptisé « Killing Time » ; comment as-tu voulu ce titre d’un point de vue musical ?

Musicalement parlant, j’ai joué différemment et avec plus de précaution sur ce titre ; par rapport au précédent. On retrouve du tambourin et des shakers dans « Killing Time ». J’ai appris à jouer des percussions Latines à l’université et on en retrouve dans ce morceau.

« Killing Time » parle d’une rupture. Tu as quitté ta moitié pour la musique ; est-ce qu’elle passe avant tout pour toi ?

Quand ça touche à la musique et à mes rêves, je ne laisserais absolument jamais la personne qui partage ma vie sentimentale me stopper. Je choisirais toujours la musique. Si cette personne veut me faire arrêter la musique, c’est que ce n’est pas la bonne personne pour moi. La compagne idéale pour moi sera celle qui comprendra mon rêve et qui me soutiendra tout au long de ce chemin musical. A l’époque où j’ai écrit cette chanson, j’étais vraiment distraite par cet amour et cela tuait littéralement mon temps alors que c’était mon moment de faire de la musique et de lancer ce projet. J’ai dû prendre une décision et cela a du bon car j’ai réussi à en faire une chanson !

Faites connaissance avec G Flip l’une des révélations 2018 venue d’Australie !

Travailles-tu sur un album ?

Absolument ! Je travaille dessus. J’ai écrit beaucoup de chansons dans cette fameuse chambre et j’aimerais beaucoup les présenter au public par le biais d’un album. Quand je me produis en live, je joue déjà huit chansons mais je n’en ai sorti que deux jusqu’à présent. Il me tarde de proposer encore plus de titres.

J’ai dit dans un article que tu révolutionnes la Pop ; qu’est-ce qui fait ta différence ?

Déjà, je vais te dire que je fais les choses différemment car je n’aime pas suivre les modes. J’aime faire de la musique à ma manière et non en reproduisant ce que j’entends à la radio et je me suis moi-même surprise que les gens aiment mes deux premiers titres car je les ai faits pour moi et non pour d’autres personnes à l’origine. J’écris avec mon cœur et à propos de mes propres expériences et je pense que les gens peuvent être touchés par ça.

A quoi vont rassembler tes prochains mois ?

Je vais jouer à un grand festival en Australie et j’en suis très heureuse car c’est l’accomplissement du rêve de toute une vie. Je n’ai jamais acheté un ticket pour m’y rendre car je voulais que la première fois soit quand je serais sur scène. Je vais continuer à écrire et je vais avoir la chance de le faire avec d’autres personnes dans des ateliers d’écriture. Je vais travailler dur dans les prochains mois pour présenter le meilleur de moi au public. J’espère pouvoir revenir en France et à Paris afin de donner des concerts.

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