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Rencontre avec un jeune artiste fort prometteur prénommé Navii !

Publié le par Steph Musicnation

Rencontre avec un jeune artiste fort prometteur prénommé Navii !

Le nouveau titre du jeune Navii s’intitule J’écoute Du Miles Davis et c’est un très gros coup de cœur, l’artiste a un potentiel indéniable et un bel avenir se dessine pour lui petit à petit.

Rencontre avec jeune homme bien dans ses baskets, sans prise de tête et qui fait ce qui le passionne le plus : de la musique !

Peux-tu te présenter à nos lecteurs ?

Je m’appelle Navii, je fais de la musique depuis que j’ai 7 ans environ, j’ai pratiqué la guitare, la basse, le piano, j’ai fais également un peu de percussions et je me suis mis à chanter quand j’avais 13-14 ans.

J’ai mis des vidéos sur le net pour faire un peu comme tout le monde mais pas forcément pour être démarché et finalement une maison de disque à bien voulu me signer pour un projet de singles et d’album qui est en cours.

Navii est ton prénom lu à l’envers mais que signifie le deuxième i ?

Le second i n’a qu’une valeur esthétique, j’ai pu faire une croche avec les deux points des i et j’ai trouvé le rendu intéressant.

Photo Jules Dumas

Photo Jules Dumas

J’écoute du Miles Davis est ton nouveau single, comment est né ce titre ?

Ce titre est né de la connexion que j’ai eu avec Yohann Malory et Tristan Salvati, c’est un titre que nous avons revu version 2015, c’était une petite ballade qui était prévue dans mon album et que nous avions enregistré en studio chez Tristan il y a deux ans.

Le titre rappelle le fait que je suis influencé par le jazz depuis mon enfance et cela donne un titre original.

C’est une petite chanson d’amour mélancolique mais à la fois pas trop car comme le dit le refrain « on s’inflige des supplices et puis on se lasse » …on n’a plus envie de se faire la gueule au final.

Comment vient-on à écouter du Miles Davis dès son plus jeune âge ?

J’ai la chance d’avoir une mère fan de musique, en particulier de musique du monde et de chansons Françaises, et un beau père qui est trompettiste plutôt jazzy, c’est lui qui m’a fait découvrir tous les grands standards que ce soit de Miles Davis, Herbie Hancock ou de Billy Cobham entre autres.

J’ai eu la chance dès mon plus jeune âge d’être influencé par ces musiques là.

Quel a été ton parcours pour être signé chez Warner ?

J’ai mis des vidéos sur Internet vers mes 14-15 ans et puis j’ai continué car ça plaisait bien à mes potes.

Avant d’être signé chez Warner, j’ai été découvert par un éditeur qui m’a ensuite mis en relation avec Yohann Malory avec qui j’ai commencé à travailler et qui lui même m’a présenté Tristan Salvati.

Tout cela a pris un peu de temps et comme je n’avais pas encore toutes mes idées en tête, cela m’a permis de beaucoup travailler la composition, les mélodies et ensuite nous avons proposé l’album et l’univers à la maison de disque.

Rencontre avec un jeune artiste fort prometteur prénommé Navii !

Tu as très vite préféré la musique aux études, as-tu un tempérament de rebelle où sais-tu tout simplement ce que tu veux ?

En fait, je ne savais pas vraiment ce que je voulais au moment où je faisais de la guitare sur le banc devant mon lycée mais je savais que je préférerais sûrement faire de la musique plutôt que de suivre des cours qui ne m’intéressaient pas.

J’ai été rebelle mais je ne savais pas ce à quoi je me destinais.

Grâce à ma mère, j’ai été envoyé dans une école de musique où j’ai suivi une formation de brevet de technicien des métiers de la musique en 3 ans qui m’a appris mal de choses et cela m’a permis de m’ouvrir un peu plus aux études.

Quels sont tes modèles musicaux ?

Claude Nougaro ou Jacques Brel dans la chanson Française, Oxmo Puccino dans le rap et Paco De Lucia au niveau de la guitare flamenco, c’est sûrement ces artistes là qui m’ont donné envie de faire de la musique.

J’ai pioché un petit peu partout dans leurs univers.

Rencontre avec un jeune artiste fort prometteur prénommé Navii !

Peux-tu nous expliquer ta technique pour jouer de la guitare en vélo ?

Ce n’est pas si simple que cela !

Il ne faut pas beaucoup de courage mais beaucoup d’envie.

Je suis tombé une fois avant de réussir à faire cette vidéo, je dirais qu’il faut savoir faire du vélo sans les mains et savoir jouer de la guitare sans avoir peur de la casser.

Peux-tu nous dire ce qu’est la contre-grosse caisse ?

La contre-grosse caisse peut également s’appeler la contre-bassine, c’est un instrument qui en mélange deux, elle est composée d’un manche de contre-basse et d’une caisse de batterie.

C’est compliqué à sonoriser mais c’est un instrument qui a une grande classe.

J’en possède une chez moi et c’est une fabrication maison d’un ami de mes parents qui fait de la musique.

Ton premier album est en préparation, peux-tu nous en dire plus ?

L’album est bel et bien en préparation mais il attend sagement que le single qui vient d’être lancé fonctionne.

C’est en cours, nous verrons bien ce que l’avenir nous réserve…

Rencontre avec un jeune artiste fort prometteur prénommé Navii !

Comment rêves-tu la suite de ta carrière ?

C’est une bonne question !

J’espère que cela va fonctionner mais je mise aussi sur les rencontres que je vais pouvoir faire.

Je sais que je veux faire de la musique et j’aimerais pouvoir en vivre.

J’aimerais pouvoir y travailler à tous les niveaux, aussi bien dans la composition, que dans l’écriture ou la sonorisation.

Je rêves de faire des grandes scènes si c’est possible tant mieux et à la fois j’attends beaucoup des connexions qui vont pouvoir se faire.

Si tu n’avais pas été « happé » par la musique, vers quelle voie te serais-tu dirigé ?

Si j’avais pu continuer mes études, j’aurais plutôt fait du journalisme, j’avais fait un stage chez Libération quand j’étais tout jeune.

J’aurais pu m’orienter dans l’associatif sinon et travailler sur des projets culturels, organiser des fêtes avec de la musique par exemple.

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C
Un mec super cool : http://navii.fr aussi cool que Trazaac : http://www.mp3trazaac.com
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