Apprenez en plus sur ATIKA PATUM grâce à La Parisienne Life !

Comment te présenterais-tu à nos lecteurs ?

Je suis ATIKA PATUM... Quand j’ai décidé de créer ce projet, j’avais prévu de ne pas révéler mon vrai nom et d’autres faits sur moi en tant que personne parce que j’estime que ce n’est peut-être pas si important... En revanche, je peux dire que je compose, que j’écris, que je produis et que je chante mes propres compositions. J’évolue dans le monde de la musique depuis 20 ans et j’ai publié de nombreuses chansons sous d’autres noms de scène qui sont bien connues partout dans le monde, certaines s’étant classées numéro 1 dans les charts billboard européens mais également au Japon et les autres ont atteint les premières places des classements partout dans le monde ... Je joue un peu de piano et de guitare.

Pourquoi as-tu choisi de porter un masque lorsque tu fais de la musique sous le nom d’ATIKA PATUM ?

ATIKA PATUM est un projet d’alter-ego et c’est quelque chose que je voulais faire depuis longtemps. Le masque est une dissimulation, les gens peuvent se concentrer davantage sur le message que je livre à travers ma musique... Par ailleurs, les gens peuvent s’imaginer être à ma place sous le masque un jour car nous devrions tous pouvoir être qui nous souhaitons.

D’où vient ce nom ?

Le nom ATIKA PATUM m’est venu à l’esprit avec la mélodie de ma première chanson intitulée « Atikapatum ». C’est un concept qui promeut la liberté, l’auto-réalisation et, en fin de compte, le laisser-aller et les instincts créatifs qui vous invitent à de nouvelles aventures... C’est tout un monde que chaque personne peut rejoindre...

Comment décrirais-tu ton univers ?

Dans la vie, j’ai été triste et heureux, parfois nostalgique, d’autres fois joyeux... J’aime tout le spectre des sentiments qu’un être humain peut traverser... Mais j’ai toujours été à la recherche d’un équilibre, du point zéro d’où tous les sentiments peuvent venir ... Un état d’âme et d’esprit que j’appelle la Liberté. C’est l’une des principales significations d’ATIKA PATUM.

Était-il évident pour toi de chanter tes chansons ?

J’ai commencé ma carrière en chantant et en composant, surtout pour moi. Donc,quand il s’agit de produire une chanson, la meilleure façon de transmettre un message, c’est quand le compositeur est également le chanteur car il sait mieux que quiconque comment sa chanson devrait sonner et quel résultat il attend ...

Peux-tu nous dire de quoi parle "ALE- ALELUIA" ton nouveau single ?

Avec " ALE- ALELUIA ",mon deuxième single, j’avais pour intention d’approfondir et en même temps d’élargir cet univers ATIKA PATUM, en gardant l’atmosphère de mon premier single et en permettant aux auditeurs de continuer de rêver et de danser sur le rythme.Cette chanson a de la magie en elle. Initialement, elle a été créée pour être jouée dans les festivals où les gens peuvent se sentir libres et heureux. Ces deux derniers mois, j’ai eu beaucoup de retours de la part du public à travers le monde ; des centaines de messages ; de personnes qui me disaient que ce nouveau titre les aidait à traverser cette période difficile de pandémie et qu’il leur donnait de la force et de l’espoir. Cela m’a fait prendre conscience que la musique a le pouvoir de changer les choses, peut-être pas beaucoup mais en tout cas,elle donne de l’espoir ...

L’émission « Masked Singer » a-t-elle été une source d’inspiration directe pour le vidéoclip de « Atikapatum  » ?

Oui, il y a une interconnexion ; c’était la première vidéo et il était important pour moi de proposer quelque chose de fort et de fédérateur visuellement parlant dès le départ.

Puises-tu principalement tes références dans la musique électronique ?

Pas nécessairement, mon inspiration vient principalement du cyberpunk et de la vie future comme un concept. Et en ce qui concerne le son, j’essaie de ne pas m’inspirer d’autres artistes car j’aime me nourrir de mes propres sentiments et de mon expérience personnelle. Mon style est quelque chose de complètement nouveau, un mélange de musique électronique avec une touche cinématographique... Vous pouvez l’appeler le style ATIKA PATUM.

Imagines-tu faire évoluer ta musique vers quelque chose de plus « Pop »  pour les radios comme certains artistes électroniques tels que David Guetta ou Martin Garrix ont déjà pu le faire ?

Nous verrons où ce projet me mènera dans les années à venir…Tout dépendra de mon inspiration et de la façon dont le monde qui nous entoure évoluera.

Qu’est-ce qui te manque le plus pendant le confinement ?

Quand le confinement n’était pas encore mis en place, j’étais à la recherche de moments silencieux afin de me plonger dans d’auto-réflexion pour en faire ressortir des choses et maintenant que nous sommes enfermés chez nous, nous pouvons profiter de tout ce temps pour changer, jeter un regard plus profond sur nos personnes afin d’essayer de devenir une meilleure version de nous. A vrai dire, je suis reconnaissant pour cette opportunité.

Comment t’imagines-tu dans dix ans ?

“I see skies of blue and clouds of white

The bright blessed days, the dark sacred nights

And I think to myself : What a wonderful world!” :) (CQFD; Les mélomanes auront reconnu les paroles de “ What A Wonderful World ” la célèbre chanson de Louis Armstrong).