Rencontre avec Loups à l’occasion de la parution de « Rayures » un premier EP prometteur !

Peux-tu te présenter à nos lecteurs ?

Je m’appelle Laura Maire, j’ai 35 ans, je suis née et j’ai grandi à Paris. Je chante, j’écris les textes, je compose les musiques et je les arrange avec les musiciens.

Qu’as-tu fait musicalement parlant avant « Rayures » ?

J’écris des chansons depuis l’enfance et je me suis produite sur différentes scènes à Paris et un peu à Montréal. J’ai d’abord beaucoup joué toute seule au piano/clavier avant de monter un groupe qui s’appelle Loups il y a deux ans car j’avais d’avantage envie de faire du Rock et de jouer avec d’autres musiciens.

Pourquoi as-tu choisi Loups comme nom de scène ?

Il se trouve que Lou est mon troisième prénom et que le loup est un animal qui me parle. J’ai mis ce nom au pluriel car je voulais vraiment insister sur l’idée de groupe et sur le fait de jouer à plusieurs.

Peux-tu nous présenter les personnes qui t’accompagnent dans l’aventure Loups ?

Loups existe sous la forme d’un trio guitare-basse-batterie ; pour ma part, j’ai troqué les claviers pour la basse, Romain Metra est à la batterie et Julien Le Nagard est à la guitare. Dans ce projet musical, Pamela Hute est très importante même si elle n’est pas avec nous sur scène. Pamela est également musicienne, elle fait du Rock Anglophone et elle a réalisé l’EP à mes côtés.

De quoi parles-tu sur ton premier EP ?

Je parle surtout du fait d’accepter les échecs et les expériences passées pour se construire dans l’avenir.

Comment décrirais-tu ton univers ?

Je dirais qu’il est brut, simple, direct et Rock.

Comment as-tu voulu ton premier disque ?

A l’image de mon univers. Nous l’avons construit en le pensant ainsi. J’avais envie de dégager cette énergie brute, simple, directe et Rock.

Que représente la ville de Vancouver pour toi ?

Elle représente un peu le fantasme du voyage et de la découverte. J’ai vécu à Montréal et j’ai toujours eu envie d’aller à Vancouver mais je n’y suis jamais allée. J’espère découvrir cette ville un jour. La chanson « Vancouver » parle du voyage salvateur, du fait de s’échapper et de se sauver par le voyage.

Peut-on dire que Loups a du mordant dans la vie de tous les jours ?

(Rires) Oui car le mordant est essentiel dans la vie de tous les jours !

Qui retrouve-t-on dans tes influences musicales ?

Alain Bashung, Dominique A, Noir Désir…Le Rock Français en règle générale.

Présentes-tu déjà les titres de Loups en live ?

Avec cette formation-là, la première date sera le 17 juillet au Pop-Up du Label et nous travaillons sur d’autres dates à partir de la rentrée.

La suite de « Rayures » est-elle déjà « en gestation » ?

Je suis en train d’écrire d’autres chansons en espérant faire un album…