Rencontre avec Presquils un duo très prometteur à suivre de près !

D’où vient votre nom de groupe ?

Niko : Nous venons tous les deux de Lyon et la presqu’île y est un peu un symbole pour les artistes.

Comment vous êtes-vous rencontrés ?

Gaët : Nous nous sommes rencontrés par la scène. Nous nous sommes retrouvés à accompagner le même artiste tous les deux il y a trois ans. Niko était aux percussions et aux chœurs et moi à la guitare et aux chœurs. Durant les sessions de travail, nous nous sommes aperçus que nos deux voix marchaient super bien ensemble et c’est comme cela que l’idée de monter quelque chose tous les deux a germé.

Qui fait quoi dans Presquils ?

N : Nous faisons tout à 50 à 50, nous écrivons et composons tous les deux.

G : Il n’y a pas de règle, nous pouvons apporter tous les deux soit de la musique soit du texte.

Avez-vous eu d’autres projets musicaux avant ?

N : Nous avons eu plein de projets musicaux séparément avant. J’ai toujours travaillé en groupe, j’ai été manageur d’artiste et j’ai fait beaucoup de direction artistique.

G : J’ai fait beaucoup de scènes tout seul. J’avais monté un one man guitare. J’ai eu des groupes de Rock et j’ai accompagné des artistes en tournée en tant que guitariste.

« Nos Histoires » n’est pas tout à fait votre premier single. Y-a-t-il eu une évolution depuis vos débuts aussi bien au niveau de l’écriture que musicale ?

G : Nous sommes en train de créer une identité. Nous avançons, c’est certain.

N : « Nos Histoires » a été l’un de nos premiers textes. Quand on construit un projet, on construit une histoire et tout ce qui va avec. On affine les choses. Nous écrivons maintenant des choses plus personnelles qui viennent du cœur, du corps et des maux. Je te dirais que nos prochaines chansons auront encore plus d’identité personnelle.

Que raconte « Nos Histoires » ?

N : Ce que l’on raconte dans ce titre peut toucher tout le monde, ce sont les souvenirs d’un été.

Pouvez-vous nous parler du clip qui illustre ce titre ?

G : Il a été tourné en Corse, à Calvi, durant trois jours, dans un décor magnifique.

N : Le clip a été réalisé par Jean-Marie Antonini. Nous avons voulu laisser planer le mystère afin que chacun se fasse sa propre histoire. Nous n’avons pas voulu rentrer dans les détails. Ce sont quatre amis en vacances qui vivent des histoires. Nous avions envie tout comme le réalisateur d’amener des images fraiches.

Qu’annonce ce titre très accrocheur ?

N : Nous aimerions beaucoup proposer un album au public mais aux yeux du grand public, Presquils n’a que deux mois et il faut d’abord exister. Il faut laisser le temps de vivre à « Nos Histoires » et nous doublerons la cadence avec un autre single.

De quoi va nous parler Presquils à l’avenir ?

G : Le voyage revient souvent dans notre écriture et nous écrivons aussi beaucoup sur ce que nous vivons.

N : Sur les prochains, le public découvrira que nous essayons de faire passer des histoires à travers des mots et des images. Au fond, il y a toujours une histoire concrète d’amour et de cœur. Notre prochain single, si c’est celui auquel nous pensons parlera de changer de vie.

Est-ce que c’est votre complémentarité vocale que vous mettriez en avant dans votre duo ?

G : Oui, c’est l’une des forces de Presquils. Nous mettrions en avant nos deux voix et nos chansons. Notre challenge est de faire de la Pop en Français et le plus difficile est d’avoir des mélodies travaillées en Français.

N : Je rajouterai aussi ce qui se passe sur scène. Nous dégageons une énergie en live assez énorme et ce sont les retours que l’on nous fait.

Prévoyez-vous de faire des collaborations ?

N : Nous en avons déjà fait deux, une avec Pomme et l’autre avec St Aubin. Nous sommes ouverts à tout et nous en parlons souvent.

G : Je pense qu’il faut que l’on créé vraiment quelque chose et que l’on soit identifiés sur ce que nous faisons mais après bien sûr, c’est toujours intéressant et enrichissant de collaborer avec des gens qui ont du talent.