MGMT est de retour avec « Loss Life » et franchement, on a connu bien mieux !
Six ans après « Little Dark Age » qui avait rencontré moins de succès que ses prédécesseurs, MGMT est de retour avec un cinquième album baptisé « Loss Life ».
Précédé par « Mother Nature », « Bubblegum Dog » et « Nothing To Declare », le nouvel opus d’Andrew Vanwyngarden et de Benjamin Goldwasser est actuellement défendu par « Dancing In Babylon » que le tandem partage avec Christine And The Queens.
Notamment produit par MGMT, Daniel Lopatin et Patrick Wimberly, « Loss Life » est un disque qui se laisse écouter mais dont on ne retient pas grand-chose ensuite…
En effet, on a connu bien mieux de la part de MGMT car ce nouveau pas discographique n’est pas assez percutant, il manque de modernité et de hits potentiels.
On regrette le côté suranné de « Loss Life » qui sonne beaucoup années 70 dans le mauvais sens du terme ; ce disque fait trop penser aux périodes d’expérimentations de groupes tels que Genesis, Pink Floyd et autres…
On zappe énormément afin de trouver quelque chose qui relève le niveau mais on arrive très rapidement à la fin de l’album sans trouver notre bonheur ; hélas.