Albums écoutés mais vite zappés, quelles sont les 10 mauvaises surprises de l’année 2017 ?

Un album est rarement mauvais du début jusqu’à la fin sauf quelques exceptions et parfois, ce n’est qu’un faux pas dans une carrière déjà jalonnée de succès…

En 2017, nous avons eu le droit au manque de créativité de certains artistes et surtout de certains producteurs qui n’ont pas hésité à nous inonder d’albums inutiles de reprises.

On prend toujours les mêmes et on recommence ; Henri Salvador, Michel Sardou, Johnny Hallyday, Barbara, Michel Fugain, Sheila ont été repris afin de continuer une longue lignée entamée par des albums d’hommage à Balavoine, Goldman, Renaud, Claude François, Fugain…

Dans la catégorie reprises insipides, la palme d’or va à Carla Bruni et à son « French Touch » qui est plus un dommage qu’un hommage.

Dans les retours passés inaperçus, nous citerons notamment les albums de Shania Twain, The Corrs, Shy’M et Fergie.

Manque de promotion, manque d’inspiration, trop d’attente pour un retour, le public a boudé ces albums en demi-teinte.

Quand des groupes ont habitué le public à beaucoup mieux, on ne peut que déplorer les nouveaux albums sans saveur de Maroon 5 et de Gorillaz et pourtant, nous suivons la carrière de ces deux groupes depuis le début…

Maroon 5 a voulu s’orienter vers de nouvelles sonorités mais a perdu totalement l’essence même du groupe…et on espère que le groupe reverra sa copie pour le prochain album.

Les deux albums qui sont loin d’être mauvais mais qui méritent d’être présents dans cette catégorie sont le « Witness » de Katy Perry et le « Beautiful Trauma » de Pink car les deux artistes Américaines savent faire beaucoup beaucoup mieux que ces albums sympas mais sans plus et dont on ne retient pas grand-chose à part les singles et d’ailleurs les ventes mondiales ne mentent pas…

Enfin bien que l’album cartonne dans les ventes, nous n’avons pas accroché plus que cela au dernier disque de Calogero qui possède quelques textes vraiment pauvres à l’image de celui de « Je Joue De La Musique » le premier extrait de « Liberté Chérie ».