Nous avons écouté le nouvel album d’Ayria !

La Canadienne Jennifer Parkin sort le cinquième album de son projet electro Ayria ; celle qui a fait partie du groupe EDM Epsilon Minus au début des années 2000 revient avec Paper Dolls.

Trois après la parution de Plastic Makes Perfect, l’artiste dévoile onze nouveaux titres bouillonnants.

Paper Dolls est loin d’être un album calme, c’est une très haute dose de vitamines et de BPM qui s’offre à vous.

La chanteuse mêle habilement le côte dark et le côté club et présente un opus très intéressant et addictif, il y a un contraste très net entre la voix mélancolique et les beats agressifs et modernes.

Ayria a trouvé son son et son univers et n’est plus en quête de quelque chose, elle n’a plus rien à prouver et explore des thèmes sombres ou actuels mais toujours universels tels que le suicide, la technologie et les médias sociaux, le féminisme, l’abus, l’opulence, le vide, l'engourdissement et l'isolement mais avec une pointe de bonheur juste pour que vous sachiez que tout espoir n’est pas perdu.

On retrouve des titres taillés pour les clubs comme Underneath The Water, Crash And Burn, Chameleon, des titres plus sexys tels que Paper Dolls ou Deconstruct Me et quelques morceaux plus lents à l’image de Barren ou de Fading From Me.

Nous ne regrettons pas la découverte !