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Retrouvailles avec l’humoriste Elodie Poux afin de présenter « Dommages » actuellement à l’affiche à L’Apollo Théâtre !

Publié le par Steph Musicnation

© Fred Boehli

© Fred Boehli

Qui a eu l’idée de « Dommages » ?

Nous avons eu l’idée à plusieurs. Au début, j’ai pensé à un plateau mais « Dommages » a été une décision à quatre personnes car notre metteur en scène est également co-auteur avec nous trois, Céline, Julie et moi-même.

Que retrouve-t-on dans ce spectacle déjanté ?

De la déjantitude, du gluten, les bases du Vaudeville tel qu’on le connait, un peu des Robins des Bois, un peu de Jacqueline Maillan, un peu de séries policières et judiciaires Américaines ; on retrouve un million de références dans « Dommages ».

Y-a-t-il une vraie histoire dans « Dommages » ?

Oui même s’il faut parfois s’accrocher pour suivre mais nous disons bien aux spectateurs de se laisser porter par l’histoire sans chercher à vraiment tout comprendre.

© Christine Coquilleau Photographe

© Christine Coquilleau Photographe

Qui y incarnes-tu ?

Je suis la boniche et je n’ai pas de prénom puisque j’en change à chaque fois que l’on s’adresse à moi.

Que mettrais-tu en avant chez ton personnage ?

Il faut savoir que nous avons chacune deux rôles dans « Dommages ». Pour ma part, j’incarne la bonne dans mon rôle Vaudevillesque et je suis également une sorte d’Elodie Poux ; pas la vraie mais qui s’en rapproche et ce que j’aime dans ce rôle-là, c’est la liberté de ton que j’ai. Il faut savoir que je suis la seule à ne pas avoir de véritable formation théâtrale et que je suis arrivée dans ce spectacle avec des réflexes de one woman show.

Qu’est-ce qui t’amuse le plus dans cette comédie ?

Le fait d’être plusieurs car c’est quelque chose que je ne connaissais pas auparavant. J’ai mon one et je le joue seule sur scène à Paris et en régions et même si j’ai un producteur ou un régisseur à mes côtés, je reste seule à me préparer et à jouer sur scène. Avec « Dommages », c’est une vraie détente de pouvoir partager la scène à plusieurs.

© Christine Coquilleau Photographe

© Christine Coquilleau Photographe

Quelles sont les qualités principales de tes partenaires mais également de votre co-auteur et metteur en scène ?

Le fait qu’elles soient mes partenaires scéniques, c’est aussi parce que nous nous entendons vachement bien sur beaucoup de choses. Cela a été très facile d’écrire cette pièce tous ensemble et nous pouvons tout aussi facilement faire des changements et des compromis car nous avons des égos très malléables toutes les trois. Nous pouvons proposer des choses et nous écoutons ce que disent les autres. Tout est simple et sans prise de tête. Quant à Michel, c’est facile de travailler avec lui, même si cela aurait pu être compliqué car c’est mon mari mais cela n’a jamais posé de problème dans sa manière de s’adresser à l’une ou à l’autre. La scission entre le mari et le metteur en scène et co-auteur de « Dommages » est facile à mettre en place et à enlever à la fin de la pièce.

Vois-tu « Dommages » comme un récréation en parallèle à ton one ?

Oh oui ! (Rires) Je sais que chaque dimanche, je vais m’amuser avec des potes même si nous le faisons avec une certaine rigueur dans le travail.

Comment évolue « Le Syndrome Du Playmobil » ?

Très très bien ; je joue dans des salles de plus en plus grandes et ça se passe de mieux en mieux. Mon one suit un bonhomme de chemin assez cool et j’en suis très contente.

© Fred Boehli

© Fred Boehli

As-tu d’autres actualités et/ou projets dans les mois à venir ?

Je vais continuer mes chroniques sur Rires Et Chansons et sur Paris Première dans la revue de presse. J’aide également les humoristes qui m’en font la demande ; peut-être pas toujours dans le texte mais dans le conseil. Je commence aussi à penser à mon second seul en scène.

Comment inviterais-tu nos lecteurs à venir découvrir « Dommages » à L’Apollo Théâtre jusqu’au 30 décembre ?

Je peux même te dire au-delà du 30 décembre car il y aura des prolongations ! Si c’est une récréation pour nous, ça le sera aussi pour eux. En venant voir « Dommages », ils verront une pièce complètement déjantée qui va les embarquer. Ils nous verront nous prendre énormément de plaisir et nous éclater sur scène sans les oublier, eux. Pendant 1h20, ils en prendront plein les yeux, ils vont se marrer et oublier tous leurs soucis s’ils en ont. A la fin de la représentation, ils pourront nous rencontrer et discuter avec nous !

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