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Attention, grosse découverte ! Partez à la rencontre de Solstice !

Publié le par Steph Musicnation

Attention, grosse découverte ! Partez à la rencontre de Solstice !

Pouvez-vous vous présenter à nos lecteurs ?

Alex : Je m’appelle Alex, j’ai 25 ans, je suis auteur, compositeur et interprète. Nous sommes tous les deux originaires de Courtry en Seine-Et-Marne. Mon instrument principal est le chant et je joue aussi de la guitare dans le cadre du groupe.

Vins : Je m’appelle Vins, je suis auteur, compositeur et interprète au sein de Solstice tout comme Alex. J’ai commencé la guitare à 15 ans, je n’ai jamais suivi de formations spéciales, j’ai tout appris de manière autodidacte.

Depuis combien de temps existe Solstice ?

A : Cela fait à peu près six ans que nous nous connaissons et que le groupe existe. Au début, je te dirais que c’était très « amateur » mais il y a eu tout de suite une accroche en ce qui concerne la composition. Nous sommes très complémentaires. Vins m’inspire vraiment, dès qu’il m’écrit un morceau de musique, j’ai envie de mettre des mots dessus et d’en faire une chanson.

Attention, grosse découverte ! Partez à la rencontre de Solstice !

Comment vous êtes-vous rencontrés ?

A : C’est grâce à un ami commun qui savait que nous étions tous les deux des grands fans du groupe Paramore. Nous nous sommes retrouvés autour de la musique dès le début. Nos deux premiers groupes étaient vraiment beaucoup plus Rock dans le style de Paramore justement.

Pourquoi avoir choisi Solstice comme nom de scène ?

V : Solstice est une belle métaphore de nous deux puisqu’un solstice est un peu la réunion des contraires. Il y a un solstice d’été et un autre d’hiver, cela joue sur le noir et le blanc, l’ombre et la lumière et c’est un peu ainsi que nous nous définissons. Nous n’avons pas forcément les mêmes personnalités mais nous nous retrouvons et nous essayons de faire ressortir cela dans notre musique.

A : Nous avons un côté très Rock et un coté très RnB et souvent, on pense que ces deux styles sont incompatibles.

Comment est né votre premier album ?

V : Sur « Green Sweat », il y a des chansons qui datent de bien plus longtemps que notre projet musical. Quand nous avons formé Solstice, nous avons commencé à écrire tout doucement à deux mais à un moment, il a fallu que nous fassions quelque chose de concret car nous n’avancions plus. C’est pour ça que nous avons décidé d’enregistrer l’album dans mon home studio et nous avons tout fait tous seuls. « Green Sweat » a été enregistré en un mois et demi et il est sorti en autoproduction.

Attention, grosse découverte ! Partez à la rencontre de Solstice !

De quoi parle « Green Sweat » votre premier album ?

A : Pour faire une synthèse générale, cet album parle de musique. « Green Sweat » raconte nos débuts dans la musique. Il y a un ordre qui nous parle dans les chansons de l’album. « Green Sweat » commence par « Dawn » qui signifie l’aube en Français et il y a une progression au fur et à mesure des chansons. Ce disque évoque notre histoire commune dans la musique, nos débuts et même ce que l’on espère qu’il y aura après. La musique est le thème central de l’album.

Que représente ce sweat vert ? Est-ce qu’il y a une signification particulière ?

V : (Rires), tout à une signification particulière ! Au tout début quand nous avons commencé à faire de la musique, Alex avait un sweat vert qu’il portait tout le temps, il était sujet à quelques blagues à ce propos et on s’est dit qu’un jour ce serait le nom de notre album. Nous avons eu d’autres projets en parallèle mais nous avons toujours gardé cette idée dans un coin de nos têtes.

L’anglais était-il une évidence ?

A : Jusqu’à présent comme c’est moi qui écris les paroles de nos chansons, je ne me vois pas écrire autre chose qu’en anglais car ma culture musicale est quasiment exclusivement anglo-saxonne. J’ai très peu écouté de musique francophone. Je te dirais que c’est même bizarre pour moi de chanter le français alors que c’est évident de le parler. On m’a même déjà dit que quand je chante en français, j’ai presque un accent anglais. Instinctivement, Vins écrirait plus en français.

V : Justement, c’est cela qui est bien aussi dans Solstice, peut-être que dans le futur, j’écrirai aussi les paroles de certaines chansons et il y a aura de l’anglais et du français. On retrouve encore une autre forme de dualité.

Attention, grosse découverte ! Partez à la rencontre de Solstice !

Comment se passe le travail au sein de Solstice ?

A : Il y a deux façons de composer et c’est vraiment moitié-moitié. Soit Vins écrit une base instrumentale et d’ailleurs, il doit en faire dix par jour, de temps en temps il y a une qui sort du lot et il me la propose. On ne va pas se mentir, souvent cela m’inspire, je la récupère et je fais un peu l’architecture du morceau, je mets les mots et la mélodie de chant dessus. Soit, je vais avoir tout de suite une inspiration, je vais commencer plutôt par la mélodie et je vais écrire la musique autour. J’écris juste le début d’une chanson et je vais la proposer à Vins qui va me dire ce qui est bien ou pas et je vais construire le morceau au fur et à mesure un peu sous sa direction artistique.

Votre projet musical se développe-t-il à l’étranger ?

V : Pas pour l’instant mais on aimerait bien. C’est certain que le fait de chanter en anglais en France, cela nous ralenti un peu.

A : Notre style de musique est vraiment plus anglo-saxon mais en même temps, si nous voulons que cela ait du sens, il faut que nous développions une fanbase en France tant que nous cherchons à nous produire ici !

Présentez-vous déjà les morceaux de Solstice sur scène ?

: Oui, nous jouons nos morceaux sur scène à Paris et en région parisienne mais également dans le métro car nous sommes accrédités musiciens du métro. Nous avons donné plusieurs concerts à L’Etage à Paris et nous nous sommes produits notamment à Meaux. Nous avons joué aussi à La Rochelle. A chaque fois que nous jouons, même peu de temps, nous vendons au moins un album et je trouve que c’est quand même assez significatif. Cela nous montre que notre musique plaît à un grand nombre c’est assez réconfortant.

V : Si on pouvait donner des concerts tout le temps et jouer partout, on le ferait. Comme on est pour le moment totalement indépendants, cela prend plus de temps car c’est très difficile de se faire programmer par soi-même.

A : Si des lecteurs connaissent des salles où nous pourrions être programmés, ou même des tourneurs / manageurs professionnels nous sommes preneurs !
 

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